Les sujets dont parlent médecins et patients
En constante augmentation au sein de la population, le burn-out reste difficile à diagnostiquer.
Souvent masqué par d’autres pathologies, le trouble du déficit de l’attention émerge fréquemment à la suite d’une crise.
Interview d'un médecin de famille, et formateur, directement confronté aux conséquences de la raréfaction des généralistes.
Pour des raisons qui demeurent mystérieuses, la puberté se manifeste toujours plus tôt.
Bien dosée, cette substance s’utilise dans l’anesthésie et comme antidépresseur.
La cyprotérone bloque les effets de la testostérone dans le corps. Elle est notamment prescrite aux hommes qui désirent changer de genre.
En repensant les pratiques autour des interventions, il est possible de limiter les complications et d’améliorer significativement le bien-être.
Selon la docteure en neurosciences, le talent n’est pas une capacité innée. Elle remet en question le système méritocratique.
Pour la première fois, la portée et le sens du projet de «médecine féminine» qui s'est développé entre 1867 et 1939 sont étudiés.
Véritables appuis pour suivre une maladie ou rester en forme, les applications de santé rencontrent un franc succès.
Breveté dès 1949, le DiEthyl-Hexyl Phthalate, phtalate de di-2-éthylhexyle ou phtalate de bis, de son petit nom DEHP, fut d’emblée très populaire.
Juridiquement, rien ne permet de distinguer les pratiques d’excision et les opérations génitales comme la nymphoplastie.
Appliquée à la santé, l’intelligence artificielle permet des avancées fascinantes.
Les émotions intenses peuvent provoquer une pathologie cardiaque grave qui touche principalement les femmes et imite l’infarctus.
L’acide gamma-hydroxybutyrique, ou GHB, est souvent appelé la «drogue du viol».
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